Nikolai Kupriakov

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 145 – Mon Seigneur, aide-nous, débarrasse-nous de toute cette pourriture!, 2017, Huile sur toile, 213 x 137 cm (84’’ x 54’’).

Une clique de gouvernements irresponsables avec Obama en tête a récemment conduit l’humanité vers une crise sans précédent. Suite à leurs interventions criminelles, des pays entiers sont maintenant détruits, des centaines de milliers d’humains ont été tués. La méthode de travail de ces gouvernements se base sur le meurtre, le mensonge, la diffamation et la corruption. Les libertés et les droits sont remplacés par des jappements médiatiques pour cacher la vérité et la raison. Les élites politiques ont totalement discrédité le monde libre et civilisé par leur comportement irresponsable.

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 140 – Donbass, notre cœur est avec toi!, 2015, Huile sur toile, 101 x 76 cm (40’’ x 30’’).

Dédié aux morts victimes de la barbarie de la junte de Kiev. Rien ne doit être oublié, rien ne doit être pardonné. L’image de l’arrière-plan est tiré d’un vidéo d’exécution en direct d’un pro-russe du Donbass par les nationalistes extrêmes ukrainiens. Sur la pancarte est écrit ‘’Le moscovite sur l’échafaud’’. Ceci est une honte pour le monde qui se déclare ‘’civilisé’’ tout en soutenant les meurtres et le génocide d’un peuple.

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 139 – La démocratie a besoin de vous! Affiche de recrutement de la Sûreté du Québec, 2015, Huile sur toile, 101 x 76 cm (40’’ x 30’’).

Dans les années 2000, nous constatons le recul significatif des droits fondamentaux au Québec. La police au lieu de protéger la population la réprime avec une férocité sans merci. Les méthodes policières douteuses ressemblent de plus en plus à des abus, plutôt qu’à l’application de la Loi. Le mensonge, la diffamation, ainsi que la corruption sont devenus monnaie courant chez la police. Les crimes impunis commis par des policiers en service inquiètent les Québécois. Bientôt voir des policiers sur les rues de Montréal sera vu comme une menace à la sécurité des passants.

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 137 – Ceci n’est pas une pipe. C’est une pipe, Huile sur toile, 100 x 75 cm (39,5’’x29,5’’), 2015

Ceci est un exemple flagrant que l’image ne trahit pas du tout. En effet, il est clair que l’intention la plus évidente de l’artiste est de montrer l’action de faire une pipe, et ce, sans aucune ambiguïté. Ce qui est moins évident par contre, c’est l’interprétation postérieure des œuvres.

Assurément, certains peuvent s’indigner qu’il s’agisse encore d’une autre œuvre sexiste, dégradante pour les femmes. Pouvons-nous les blâmer pour ça? Jamais! Pouvons-nous blâmer une petite féministe innocente qui affirme suite à sa ‘’large expérience’’ que faire une pipe est un acte de soumission? Jamais, et ce, malgré qu’on adore les pipes, d’autant plus quand elles sont matinales et en plein-air.

Et quoi faire avec l’image d’une pipe, surtout si je ne fume pas?

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 136 – Golf Divin ou Obama Pet (Divine Golf or Obama Fart), Huile sur toile, 100 x 75 cm (39,5’’x29,5’’), 2014

La politique étrangère des États-Unis est un échec lamentable qui pousse inévitablement le monde vers une autre guerre mondiale. La médiocrité, le narcissisme et l’arrogance de ses dirigeants deviennent un danger pour la paix. On se demande pourquoi partout où les Américains posent leur pied le sang coule. On se demande pourquoi les belliqueux dirigeants américains au lieu de chercher un dialogue avec la Russie préfèrent semer le chaos à proximité de ses frontières.

À quoi ça sert et à qui?

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 134 - Machu Picchu de Bordeaux, Huile sur toile, 76x102 cm, 2014

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 133 - La Honte du Québec, Huile et excréments sur toile, 102x76 cm, 2014

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 132 - La Liberté à la Sûreté du Québec, Huile sur toile, 120x95cm, 2014

Œuvre créée dans le cadre de la série des œuvres en exil. Cette série s’articule autour de sujets en lien avec la Liberté, l’interprétation de la Liberté par les autorités québécoises et leur tendance actuelle à brimer les droits fondamentaux qui sont pourtant garantis par la Constitution canadienne.

Part 129 Allégorie : l'Art et l'Autorité, Huile sur toile, 213x137 cm, 2013

Les années 2010 au Québec sont marquées par la corruption du pouvoir, ainsi que par les actes de violence envers la population. Les droits fondamentaux sont brimés et la police ne respecte plus la Constitution, réprimant avec brutalité son propre peuple.

Les arts ont perdu leur droit à la libre expression, et sont soumis au politically  correct, pris sous l’emprise de cette ombre croissante qui infecte toutes les sphères de notre société. La censure est devenue monnaie courante, et la répression des artistes, un fait banal.

Pendant ce temps, les autorités continuent de forniquer avec la mafia et de bouffer comme des porcs dans les clubs privés en utilisant les fonds publics.

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 125 - Québec 2012, Huile sur toile, 152x122cm, (60’’x48’’) 2012

KUPRIAKOV, Nikolai. Part XXIII – Apothéose de la Guerre, 1995, Huile sur toile, 137 x 137 cm (68’’ x 51’’).

Cette œuvre est dédiée aux enfants victimes des guerres européennes des années 1990. Les vies de milliers d’innocents ont été sacrifiées pendant ces conflits aux Balkans pour les manipulations géopolitiques de politiciens sans scrupules.

KUPRIAKOV, Nikolai. Part XX – Les Enfants du Paradis 1, 1994, Huile sur toile, 137 x 137 cm (51’’ x 51’’).

Cette œuvre est le résultat d’une réflexion sur la perception du monde moderne par un artiste. Il est reconnu que la sensibilité des artistes devient régulièrement leur malédiction. Dans une société où les contradictions et l’hypocrisie font la Loi, les artistes sont souvent parmi ceux qui souffrent le plus.

Ce tableau a été censuré dans une exposition au Complexe Desjardins à Montréal, jugé par l’administration comme étant une œuvre qui ne peut pas être présentée en public.

KUPRIAKOV, Nikolai. Part XI – La grâce du ministère d'immigration, 1992, Huile sur toile, 137 x 137 cm (51’’ x 51’’).

Durant les premières années qui ont suivi l’immigration de Nikolai Kupriakov au Canada, le Canada est devenu comme une prison pour l’artiste sans aucune possibilité de voir ses enfants. Il a donc créé une œuvre allégorique où figure le portrait de son fils derrière des barreaux composés de drapeaux canadiens.

KUPRIAKOV, Nikolai. Part 1 – Welcome, 1992, Huile sur toile, 101 x 76 cm (40’’ x 30’’).

L’œuvre Welcome a été réalisée face à la lourdeur du système d’immigration canadien. Le peintre a été frappé par l’absence d’humanisme du Ministère d’immigration fédérale et par l’absurdité de sa bureaucratie. À son arrivée au Canada en 1991, Nikolai Kupriakov a été séparé de ses enfants pendant huit longues années…